Les raisons historiques de la construction du Front de gauche

Les élections cantonales de 2011 : le Front de Gauche insiste et persiste (épisode 6)

Le Front de gauche à clairement exprimé son intention de présenter des candidats dans un maximum de cantons.

Le FDG est cette fois élargi au M’PEP  qui a fait une demande d’adhésion nationale au front. Dans certains départements, les candidats sont présentés en commun avec le Nouveau Parti anticapitaliste d’Olivier Besancenot ainsi que le Mouvement républicain et citoyen de Jean-Pierre Chevènement !

L’objectif pour le PCF est de récupérer la Seine-Saint-Denis (perdue en 2008 au profit du PS), de conquérir le Cher, de conserver l’Allier et le Val-de-Marne.

Mais les ambitions du Front de gauche se retrouvent compromises en Seine-Saint-Denis et dans le Val-de-Marne car malgré des candidatures communes avec le NPA, EELV et le PS présentent un maximum de candidats communs.

Les candidats Front de gauche et alliés obtiennent finalement 10,38 % des voix au niveau national sur les cantons où le FDG était présent.

Avec 10,38 % des voix sur l’ensemble des cantons dans lesquels il présentait des candidats au premier tour, le Front de Gauche se place comme étant la deuxième force de gauche de France devant EELV.

La dynamique unitaire créée autour du Front de Gauche a permis d’enrayer le recul historique du PC.

Le Front de Gauche persiste et signe. Il faudra désormais compter avec lui.

 

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