DÉCÈS DE NOTRE CAMARADE PASCALE

Nous avons eu la douleur d’apprendre le décès de notre camarade Pascale JOSSERAND.

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Pascale avait rejoint nos rangs au tout début de la campagne présidentielle fin 2011, mais avait été contrainte et forcée de mettre de côté son action politique au sein du PG, en toute fin d’année 2012, en apprenant qu’elle était atteinte d’une grave maladie.

Plusieurs membres du parti ont assisté ce matin mardi 21/05/2013 à ses obsèques à Viriat.

Ce soir, nous avons tous une pensée très émue et collective en direction de Pascale.

Nous pensons également toutes et tous très fort à sa famille.

Meeting départemental du Front de Gauche mercredi 22 mai à Bourg en Bresse

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JEAN-LUC MÉLENCHON PROPOSE (toujours) SES SERVICES

…mais pour une 6ème République !

Cliquez sur l’imageJLM 20 04 2013

«Bien sûr, c’est le but. François Hollande avait une chance de faire quelque chose de bien, il l’a ratée. Il peut se rattraper. Il peut me nommer Premier ministre. Je n’ai pas peur. Diriger ce gouvernement-là ? Oh non ! Diriger un gouvernement, oui, mais pour changer complètement de cap.» (Mélenchon)

TOUS A PARIS LE 5 MAI 2013 !

Un déplacement est organisé depuis Bourg en Bresse.

Pour vous inscrire, contactez nous par courriel : pg01@lepartidegauche.fr

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JEUDI 25/04 PROCHAIN

Jean-Luc Mélenchon est l’invité de France 2 dans l’émission « Des paroles et des actes« .

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LES « JEUDIS DE LA GAUCHE »

 Le deuxième « Jeudi de la gauche » organisé par le Parti de Gauche, comité de Bourg en Bresse, s’est tenu le 18/04 de 20h à 22h30.

Gérald a présenté avec clarté et pédagogie les grands enjeux de l’évasion fiscale.

Le débat s’est ensuite ouvert entre tous les participants.

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PROCHAIN RENDEZ-VOUS : Jeudi 16 mai 2013 à Bourg-en-Bresse

VENEZ NOMBREUX !

Le Parti de Gauche s’oppose à ce que l’accord Medef devienne une loi. La bataille ne fait que commencer !

281904_517526828289850_2049889572_nAujourd’hui, dans l’Ain comme partout ailleurs, le Parti de Gauche était au coté des salariés pour refuser cet accord illégitime signé par le patronat et des syndicats minoritaires. Dans notre pays ce n’est pas le Medef qui écrit la loi ce sont les représentants du peuple. La lutte continue !

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A écouter…à méditer…

Le PS en 2013

Le PS en 1971

Le PS accuse le PG de souhaiter son échec

Les raisons historiques de la construction du Front de gauche

Le Front de Gauche veut rassembler toute la gauche française

(épisode 9)

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Aujourd’hui le Front de gauche rassemble à la fois des organisations qui en sont membres et est soutenu sans qu’elles n’appartiennent à ce cartel par différents groupes. Parallèlement, le Front de gauche propose des ralliements de personnalités via les différents Fronts : luttes, justice, front des femmes, des intellectuels, universitaires. Cette tactique reprend en grand partie la stratégie qui en son temps avait fait le succès du mouvement communiste international. Le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) a d’emblée été réservé sur une éventuelle alliance avec le Front de gauche, ses membres considérant les bases politiques du Front comme étant insuffisantes, posant notamment comme préalable une alliance « durable » incluant les élections régionales de 2010, et en toute indépendance du Parti socialiste.

Le NPA s’est dit ainsi « favorable à un accord durable de toutes les forces qui se réclament de l’anticapitalisme » autour de trois conditions : une unité « sur un contenu réel » anticapitaliste, une unité en lien avec le terrain et les luttes sociales et écologiques, une unité durable « qui ne soit pas un cartel électoral sans lendemain ». Le conditionnement d’un accord aux élections européennes à celui d’un accord aux élections régionales n’a finalement pas été accepté par le PCF et le PG, et le NPA a dénoncé ce qu’il qualifie de lancement unilatéral de la campagne du Front de gauche, avant que les discussions ne soient arrivées à leur terme. Le Conseil politique national vote donc le 8 mars 2009, à une écrasante majorité (96,3 %), un texte qui « prend acte du désaccord » avec le Front de gauche.

Christian Picquet, chef de file de l’association « Unir » qui a soutenu l’amendement minoritaire sur les européennes (16 %) puis le texte favorable à une participation au Front de gauche (3,7 %), estime toutefois que son parti ne peut raisonnablement pas se priver de cette alliance, souhaitant à ce titre qu’il la rejoigne « sans conditions ». Considérant que le NPA fait une « lourde faute politique », Christian Picquet annonce finalement le 8 mars 2009, lors du meeting de lancement du Front de gauche au Zénith de Paris, qu’il fonde son propre mouvement, la « Gauche unitaire », afin de participer au FDG, provoquant du même coup une scission au sein d’Unir et sa dissolution. La Gauche unitaire se présentera donc sur les listes du Front de gauche aux côtés des autres organisations signataires.

Le Front ne ferme toutefois pas la porte au NPA, soulignant des points de convergence en matière économique.

D’après le Front de gauche, les divergences portent essentiellement sur la question des relations avec le PS. Le PCF et le PG sont en effet généralement favorables à des accords de désistement avec les listes et candidats du PS entre les deux tours dans le cadre d’élections prévoyant deux tours de scrutin (ce qui n’est pas le cas des élection européenne), afin de ne pas permettre la victoire d’une droite minoritaire mais unifiée face à une gauche majoritaire mais divisée. Le Parti de gauche se dit également favorable à l’idée de gouverner avec le PS en cas de majorité à gauche, à la seule condition que ce gouvernement ne soit pas dominé par le « social-libéralisme », une perspective qu’il estime rejetée par le NPA.

Le 21 mars, le Mouvement républicain et citoyen (MRC) de Jean-Pierre Chevènement, après avoir souhaité la constitution d’un vaste front incluant le Parti socialiste (rejetée par le PCF et le PG) et de longues discussions internes, décide finalement de ne pas participer au Front de gauche sur la base d’un désaccord de fond « quant à la manière de redresser la construction européenne ». Le rejet d’un amendement du MRC stipulant qu’« on ne (ferait) pas l’Europe sans et à plus forte raison contre les nations qui sont le lieu privilégié de l’expression démocratique et de la solidarité » sera à cet égard déterminant.

Cette décision provoque quelques dissidences au sein du MRC. Pour répondre à la multiplication de ces dissidences et à leur besoin d’organisation, plusieurs fédérations, comités locaux ou personnalités du MRC fondent une nouvelle organisation,« République et socialisme », nouvelle entité à part entière au sein du Front de gauche !

Le 14 mai, Jean-Pierre Chevènement annonce dans un communiqué de presse que le MRC appellera officiellement à voter blanc ou nul. Discussions avec la Fédération pour une alternative sociale et écologique (FASE)

Dans un premier temps, bien que la Fédération pour une alternative sociale et écologique, approchée par le PG, se soit dite favorable à une « convergence de la gauche de transformation sociale » au travers d’une rencontre commune avec le NPA, le PCF et le PG, le PCF refuse de la considérer comme un interlocuteur valable, plusieurs de ses membres, les Communistes unitaires, en faisant partie.

Mais le 11 juin 2011, à la suite de la conférence nationale du PCF des 4 et 5 juin, la Fédération pour une alternative sociale et écologique (FASE) annonce dans un communiqué son ralliement national au Front de gauche et son soutien à Jean-Luc Mélenchon pour les Présidentielles 2012.
Le 17 juin 2011, son adhésion est officialisée lors d’une réunion avec le PCF, R&S et le PG.

Discussions avec d’autres formations politiques qui n’ont pas abouti
Les Alternatifs rejettent une participation au Front de gauche le 21 mars 2009 en Assemblée générale. Cette option a été approuvée par 30 % des militants, contre 31 % pour une alliance avec le NPA et 35 % à une non-participation aux élections européennes, ces deux dernières propositions devant ensuite être départagées.
Réunis en coordination le 28 mars, les Alternatifs choisiront finalement de ne pas prendre part aux élections européennes à 55 % des voix, contre 41 % favorables à une alliance avec le NPA.

Lutte ouvrière (LO) a finalement annoncé son intention de présenter ses propres listes, au motif que des alliances dénatureraient sa position (à savoir faire « entendre une voix communiste révolutionnaire ») et s’estimant incapable, de toute manière, d’obtenir des élus au Parlement européen.
Après quelques rencontres formelles avec le Parti de gauche, le Parti ouvrier indépendant (POI) a décidé de ne pas prendre part aux élections européennes.

Le peuple de gauche

Les raisons historiques de la construction du Front de gauche

La Présidentielle de 2012 : la percée du Front de Gauche (épisode 8)

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Les composantes du Front de gauche décident de présenter un candidat unique à l’élection présidentielle de 2012. Jean-Luc Mélenchon, coprésident du Parti de gauche, propose sa candidature le 21 janvier 2011.

Dans les semaines suivantes, il reçoit le soutien de Gauche unitaire, puis de la Fédération pour une alternative sociale et écologique (FASE).

Le 5 juin 2011, les délégués du PCF, réunis lors d’une conférence nationale, votent en faveur d’une résolution politique incluant la candidature de Jean-Luc Mélenchon en vue l’élection présidentielle.

Les 16, 17 et 18 juin suivants, les militants communistes confirment ce choix à près de 60 %.

Jean-Luc Mélenchon devient de ce fait le candidat officiel du Front de gauche à l’élection présidentielle.

Le Front de gauche entre en campagne le mercredi 29 juin, place Stalingrad, lors d’un meeting unitaire qui réunit plus de 4 000 personnes !

Après les interventions de la FASE et du PCF, notamment, c’est au tour du candidat Jean-Luc Mélenchon d’évoquer, entre autres, la sortie de l’OTAN, le retrait des guerres d’Afghanistan et de Libye, la diminution de la précarité et du démantèlement des services publics, une disposition à prendre les moyens financiers où ils se trouvent, l’établissement d’un salaire maximum et l’augmentation du SMIC. Le Programme du Front de Gauche, finalisé, a été présenté à la Fête de l’Humanité en septembre 2011.

Le 28 mai 2011, le club République et Socialisme (R&S), allié au FDG depuis les européennes de 2009, envoie une lettre au PCF et au PG dans laquelle il souhaite adhérer nationalement au Front de gauche.

Le 17 juin 2011, cette adhésion est validée lors de la réunion avec le PCF et le PG.

Outre la FASE et R&S, le courant Convergences et Alternative a décidé lors de son conseil national des 8 et 9 avril 2011 de prendre son indépendance vis-à-vis du NPA, jugeant celui-ci nuisible à l’unité de la gauche radicale et envisage de rejoindre le Front de gauche.

Lors de sa réunion nationale avec les autres composantes du Front les 2 et 3 juillet 2011, Convergences et Alternative choisit de rejoindre le Front de gauche.

Le 3 octobre 2011, le Parti communiste des ouvriers de France (PCOF) annonce à son tour son intégration au Front de gauche.

De ce fait, Les Alternatifs ont refusé de rejoindre le FDG et quitté la FASE dans le même temps, mais ont cependant apporté leur soutien à la candidature de Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle.

Plusieurs partis et mouvements ont exprimé leur soutien au Front de gauche sans pour autant en faire partie : l’Alternative Démocratie Socialisme, le Rassemblement des cercles communistes, l’Organisation Femmes Égalité et le Mouvement des jeunes communistes de France.

Le 14 janvier 2012, alors qu’il ne fait pas partie du Front de Gauche en raison d’un désaccord sur la question de l’euro, le Mouvement politique d’éducation populaire (M’PEP) a décidé de soutenir le Front de Gauche aux élections présidentielles et législatives.

Le 8 juillet 2012 l’ancienne fraction publique du NPA, Gauche Anticapitaliste (GA), rejoint aussi le Front de Gauche.

De plus, certains partis politiques européens de gauche ont apporté leur soutien à la candidature de Jean-Luc Mélenchon : la Gauche unie (Espagne), Die Linke (Allemagne), le Bloc de gauche (Portugal), la Coalition de la gauche radicale (Grèce) et Synaspismós (Grèce).

Cette unité lance une vraie dynamique de campagne.

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