Conférence de presse du 18/10/2011 : présentation de l’ambition du FDG et des candidatures aux législatives dans l’Ain

Nous vous avons invité devant la banque de France, comme un symbole de l’argent qui domine, écrase, comme symbole des politiques publiques contraintes par l’abandon ou le renoncement des dirigeants politiques.

L’argent qui manque pour les salaires, pour payer son loyer, se soigner (29% ont renoncé contre 11% en 2009). L’argent qui coule à flots pour les actionnaires. L’argent pour l’argent.

En effet la dette dont on nous rabat les oreilles est une affaire qui rapporte. Avant 1974 l’Etat empruntait à o% à la banque centrale nationale, la Banque de France. Depuis, c’est interdit, et il est contraint d’emprunter aux banques sur les marchés financiers. La BCE (Banque Centrale Européenne) prête à 1,5% aux banques qui prêtent aux Etats de 3 à 15%. La finance dicte sa loi.

L’endettement pourrait être au service du développement humain, en finançant les besoins sociaux : éducation, santé, recherche, infrastructures et énergies renouvelables nécessaires à l’essor d’une croissance respectueuese de l’homme et de son environnement. Mais à l’opposé il sert à compenser le déficit public à cause des réductions d’impôts des plus riches et des cotisations sociales. L’endettement de l’état produit aussi un transfert de l’argent populaire vers les plus aisés, car tous nous payons la TVA , mais quelques uns perçoivent les intérêts que l’état verse aux prêteurs. Lire plus

Les emprunts toxiques du Conseil Général de l’Ain

Le document de l’établissement bancaire DEXIA publié par le journal libération nous montre l’ampleur de la catastrophe des emprunts toxiques qui asphyxient les collectivités locales. Notre département a contracté pour 155 616 000€  de ces emprunts  sur la période 2005-2008. Le surcoût par rapport aux intérêts calculés au moment de la signature initiale est de 51 452 000 € sur environ 25 ans soit plus de 2 000 000 € par an qui ne profiteront pas aux habitants du département ! Lire plus

Rentrée scolaire : le massacre continue

Dans notre département comme partout en France la casse du service public d’éducation se poursuit méthodiquement.

Dans les écoles primaires 573 élèves de plus et… 3 suppressions de poste. Quel avenir pour nos enfants lorsqu’on les entasse dès la maternelle à 32 voir 33 dans la même classe ?

Les élèves de maternelle de Lescheroux n’ont même plus droit à la sieste l’après midi par manque de place! Quelle honte !

Le gouvernement qui affirme vouloir lutter contre l’échec scolaire supprime pourtant 19 des 100 postes de RASED (réseau d’aide et de soutien aux élèves en difficultés) de notre département. Lire plus

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