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Un peu de musique
Communiqué du Front de Gauche Bourg en Bresse
Communiqué
Le Front de Gauche réagit à l’occasion de la venue de J.M. Le Pen dans l’Ain
Si la dérive droitière de l’UMP a marqué le retour de la hausse du Front National, l’élection de la gauche ne l’a pas arrêtée.
Lorsque la gauche succède à la droite et qu’elle renonce au changement de politique, les classes populaires sont de plus en plus confrontées aux méfaits de la régression sociale et démocratique (austérité, licenciements, répressions, fermetures d’entreprises et de services publics, etc ) C’est ce croisement : crise sociale et crise politique qui fait le terreau de l’extrême droite; le FN tente de dévoyer les aspirations des salariés avec un enfumage social : s’il critique le gouvernement, il ne dit rien, sur la responsabilité des grandes entreprises qui accaparent les richesses produites; il cherche à diviser en s’en prenant aux syndicalistes, aux fonctionnaires, aux étrangers, etc .. pour qu’ils soient de plus en plus exploités Si sa stratégie à changé , le fond n’ a pas changé.
C’est un projet de société qui offre une alternative progressiste de gauche, pour améliorer les conditions de vie, pour retrouver les liens de solidarité, pour mettre en œuvre la citoyenneté sur les lieux de travail et à tous les niveaux des instances et des services publics qui fera reculer les idées d’extrême droite.
C’est ce projet que développe le Front de Gauche
Front de Gauche: PCF-PG-GU-Les Alternatifs -MJCF
Du secteur de Bourg en Bresse
22 février 2013 | Classé Dans Actualité départementaleA écouter…à méditer…
Le PS accuse le PG de souhaiter son échec
2 février 2013 | Classé Dans Non classéLes raisons historiques de la construction du Front de gauche
Le Front de Gauche veut rassembler toute la gauche française
(épisode 9)
Aujourd’hui le Front de gauche rassemble à la fois des organisations qui en sont membres et est soutenu sans qu’elles n’appartiennent à ce cartel par différents groupes. Parallèlement, le Front de gauche propose des ralliements de personnalités via les différents Fronts : luttes, justice, front des femmes, des intellectuels, universitaires. Cette tactique reprend en grand partie la stratégie qui en son temps avait fait le succès du mouvement communiste international. Le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) a d’emblée été réservé sur une éventuelle alliance avec le Front de gauche, ses membres considérant les bases politiques du Front comme étant insuffisantes, posant notamment comme préalable une alliance « durable » incluant les élections régionales de 2010, et en toute indépendance du Parti socialiste.
Le NPA s’est dit ainsi « favorable à un accord durable de toutes les forces qui se réclament de l’anticapitalisme » autour de trois conditions : une unité « sur un contenu réel » anticapitaliste, une unité en lien avec le terrain et les luttes sociales et écologiques, une unité durable « qui ne soit pas un cartel électoral sans lendemain ». Le conditionnement d’un accord aux élections européennes à celui d’un accord aux élections régionales n’a finalement pas été accepté par le PCF et le PG, et le NPA a dénoncé ce qu’il qualifie de lancement unilatéral de la campagne du Front de gauche, avant que les discussions ne soient arrivées à leur terme. Le Conseil politique national vote donc le 8 mars 2009, à une écrasante majorité (96,3 %), un texte qui « prend acte du désaccord » avec le Front de gauche.
Christian Picquet, chef de file de l’association « Unir » qui a soutenu l’amendement minoritaire sur les européennes (16 %) puis le texte favorable à une participation au Front de gauche (3,7 %), estime toutefois que son parti ne peut raisonnablement pas se priver de cette alliance, souhaitant à ce titre qu’il la rejoigne « sans conditions ». Considérant que le NPA fait une « lourde faute politique », Christian Picquet annonce finalement le 8 mars 2009, lors du meeting de lancement du Front de gauche au Zénith de Paris, qu’il fonde son propre mouvement, la « Gauche unitaire », afin de participer au FDG, provoquant du même coup une scission au sein d’Unir et sa dissolution. La Gauche unitaire se présentera donc sur les listes du Front de gauche aux côtés des autres organisations signataires.
Le Front ne ferme toutefois pas la porte au NPA, soulignant des points de convergence en matière économique.
D’après le Front de gauche, les divergences portent essentiellement sur la question des relations avec le PS. Le PCF et le PG sont en effet généralement favorables à des accords de désistement avec les listes et candidats du PS entre les deux tours dans le cadre d’élections prévoyant deux tours de scrutin (ce qui n’est pas le cas des élection européenne), afin de ne pas permettre la victoire d’une droite minoritaire mais unifiée face à une gauche majoritaire mais divisée. Le Parti de gauche se dit également favorable à l’idée de gouverner avec le PS en cas de majorité à gauche, à la seule condition que ce gouvernement ne soit pas dominé par le « social-libéralisme », une perspective qu’il estime rejetée par le NPA.
Le 21 mars, le Mouvement républicain et citoyen (MRC) de Jean-Pierre Chevènement, après avoir souhaité la constitution d’un vaste front incluant le Parti socialiste (rejetée par le PCF et le PG) et de longues discussions internes, décide finalement de ne pas participer au Front de gauche sur la base d’un désaccord de fond « quant à la manière de redresser la construction européenne ». Le rejet d’un amendement du MRC stipulant qu’« on ne (ferait) pas l’Europe sans et à plus forte raison contre les nations qui sont le lieu privilégié de l’expression démocratique et de la solidarité » sera à cet égard déterminant.
Cette décision provoque quelques dissidences au sein du MRC. Pour répondre à la multiplication de ces dissidences et à leur besoin d’organisation, plusieurs fédérations, comités locaux ou personnalités du MRC fondent une nouvelle organisation,« République et socialisme », nouvelle entité à part entière au sein du Front de gauche !
Le 14 mai, Jean-Pierre Chevènement annonce dans un communiqué de presse que le MRC appellera officiellement à voter blanc ou nul. Discussions avec la Fédération pour une alternative sociale et écologique (FASE)
Dans un premier temps, bien que la Fédération pour une alternative sociale et écologique, approchée par le PG, se soit dite favorable à une « convergence de la gauche de transformation sociale » au travers d’une rencontre commune avec le NPA, le PCF et le PG, le PCF refuse de la considérer comme un interlocuteur valable, plusieurs de ses membres, les Communistes unitaires, en faisant partie.
Mais le 11 juin 2011, à la suite de la conférence nationale du PCF des 4 et 5 juin, la Fédération pour une alternative sociale et écologique (FASE) annonce dans un communiqué son ralliement national au Front de gauche et son soutien à Jean-Luc Mélenchon pour les Présidentielles 2012.
Le 17 juin 2011, son adhésion est officialisée lors d’une réunion avec le PCF, R&S et le PG.Discussions avec d’autres formations politiques qui n’ont pas abouti
Les Alternatifs rejettent une participation au Front de gauche le 21 mars 2009 en Assemblée générale. Cette option a été approuvée par 30 % des militants, contre 31 % pour une alliance avec le NPA et 35 % à une non-participation aux élections européennes, ces deux dernières propositions devant ensuite être départagées.
Réunis en coordination le 28 mars, les Alternatifs choisiront finalement de ne pas prendre part aux élections européennes à 55 % des voix, contre 41 % favorables à une alliance avec le NPA.Lutte ouvrière (LO) a finalement annoncé son intention de présenter ses propres listes, au motif que des alliances dénatureraient sa position (à savoir faire « entendre une voix communiste révolutionnaire ») et s’estimant incapable, de toute manière, d’obtenir des élus au Parlement européen.
Après quelques rencontres formelles avec le Parti de gauche, le Parti ouvrier indépendant (POI) a décidé de ne pas prendre part aux élections européennes.2 février 2013 | Classé Dans Non classéLes raisons historiques de la construction du Front de gauche
La Présidentielle de 2012 : la percée du Front de Gauche (épisode 8)
Les composantes du Front de gauche décident de présenter un candidat unique à l’élection présidentielle de 2012. Jean-Luc Mélenchon, coprésident du Parti de gauche, propose sa candidature le 21 janvier 2011.
Dans les semaines suivantes, il reçoit le soutien de Gauche unitaire, puis de la Fédération pour une alternative sociale et écologique (FASE).
Le 5 juin 2011, les délégués du PCF, réunis lors d’une conférence nationale, votent en faveur d’une résolution politique incluant la candidature de Jean-Luc Mélenchon en vue l’élection présidentielle.
Les 16, 17 et 18 juin suivants, les militants communistes confirment ce choix à près de 60 %.
Jean-Luc Mélenchon devient de ce fait le candidat officiel du Front de gauche à l’élection présidentielle.
Le Front de gauche entre en campagne le mercredi 29 juin, place Stalingrad, lors d’un meeting unitaire qui réunit plus de 4 000 personnes !
Après les interventions de la FASE et du PCF, notamment, c’est au tour du candidat Jean-Luc Mélenchon d’évoquer, entre autres, la sortie de l’OTAN, le retrait des guerres d’Afghanistan et de Libye, la diminution de la précarité et du démantèlement des services publics, une disposition à prendre les moyens financiers où ils se trouvent, l’établissement d’un salaire maximum et l’augmentation du SMIC. Le Programme du Front de Gauche, finalisé, a été présenté à la Fête de l’Humanité en septembre 2011.
Le 28 mai 2011, le club République et Socialisme (R&S), allié au FDG depuis les européennes de 2009, envoie une lettre au PCF et au PG dans laquelle il souhaite adhérer nationalement au Front de gauche.
Le 17 juin 2011, cette adhésion est validée lors de la réunion avec le PCF et le PG.
Outre la FASE et R&S, le courant Convergences et Alternative a décidé lors de son conseil national des 8 et 9 avril 2011 de prendre son indépendance vis-à-vis du NPA, jugeant celui-ci nuisible à l’unité de la gauche radicale et envisage de rejoindre le Front de gauche.
Lors de sa réunion nationale avec les autres composantes du Front les 2 et 3 juillet 2011, Convergences et Alternative choisit de rejoindre le Front de gauche.
Le 3 octobre 2011, le Parti communiste des ouvriers de France (PCOF) annonce à son tour son intégration au Front de gauche.
De ce fait, Les Alternatifs ont refusé de rejoindre le FDG et quitté la FASE dans le même temps, mais ont cependant apporté leur soutien à la candidature de Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle.
Plusieurs partis et mouvements ont exprimé leur soutien au Front de gauche sans pour autant en faire partie : l’Alternative Démocratie Socialisme, le Rassemblement des cercles communistes, l’Organisation Femmes Égalité et le Mouvement des jeunes communistes de France.
Le 14 janvier 2012, alors qu’il ne fait pas partie du Front de Gauche en raison d’un désaccord sur la question de l’euro, le Mouvement politique d’éducation populaire (M’PEP) a décidé de soutenir le Front de Gauche aux élections présidentielles et législatives.
Le 8 juillet 2012 l’ancienne fraction publique du NPA, Gauche Anticapitaliste (GA), rejoint aussi le Front de Gauche.
De plus, certains partis politiques européens de gauche ont apporté leur soutien à la candidature de Jean-Luc Mélenchon : la Gauche unie (Espagne), Die Linke (Allemagne), le Bloc de gauche (Portugal), la Coalition de la gauche radicale (Grèce) et Synaspismós (Grèce).
Cette unité lance une vraie dynamique de campagne.
19 janvier 2013 | Classé Dans Non classéCOMPTE RENDU DE L’ASSEMBLÉE CITOYENNE DU JEUDI 29 NOVEMBRE
Ancienne maison des syndicats de Bourg en Bresse
Jeudi 29 novembre s’est tenue à Bourg-en-Bresse la première assemblée citoyenne depuis l’élection du nouveau président de la République, François Hollande.
Une cinquantaine de personnes a répondu à l’invitation lancée par le Front de Gauche.
Des militants associatifs, des syndicalistes, des citoyens, sont venus échanger sur le thème de l’emploi.
Cette soirée était animée par Nicolas Marchand, membre du Conseil National et du collectif d’actions et de propositions pour l’emploi et l’industrie du PCF, Philippe Lerda du Parti de Gauche et Noëlle Favier du PCF. Lire plus
15 décembre 2012 | Classé Dans Actualité départementale, Comité de Bourg en BresseLes raisons historiques de la construction du Front de gauche
Le Front de Gauche : une entité encore très jeune (épisode 7)
Le succès du Front de Gauche tient en partie à la personnalité et aux qualités d’orateur de Jean-Luc Mélenchon. Or, le FDG a aussi su trouver des dynamiques convergentes et a su tenir compte des expériences passées pour instaurer une logique unitaire qui ravive la mémoire d’une partie de la gauche.
Début 2011, Jean-Luc Mélenchon annonce qu’il se porte candidat à l’élection présidentielle.
Depuis plusieurs mois, il est parvenu, grâce à sa véhémence et un talent d’orateur indéniable, à faire une percée significative dans les médias, dénonçant le système médiatique qui prendrait en otage lecteurs, téléspectateurs, auditeurs, obligés d’entendre et de voir le spectacle des journalistes et politiques.
Pour se faire entendre, combattre la droite d’une part et les élites d’autre part, il adopte un discours très saignant. Le Front de gauche a positivement passé trois étapes électorales : européennes, régionales, cantonales. Une dynamique d’élargissement du périmètre originel des alliances (PCF, Parti de gauche, Gauche unitaire) est enclenchée, intégrant de nouvelles organisations.
L’aspiration de citoyens non « encartés » à rejoindre le mouvement se manifeste, témoigne d’un très important potentiel de la démarche. Le Front de gauche n’est pas un parti politique mais un navire abritant plusieurs équipées. Il se présente comme une coquille politique nouvelle, désormais capable de perturber des scénarios « à la papa » courus d’avance.
Un programme partagé est adopté, le caractère collectif de la campagne présidentielle est affirmé, et le couplage présidentielle/législatives est acquis.
Certes, le Front de gauche reste une construction fragile, parce que récente et expérimentale. L’espoir politique qu’il porte n’est alors au départ qu’un simple espoir.
Les dures expériences de l’unité au sein de la gauche…de la gauche (fait rarissime), le fait que continuent de subsister des formes locales d’union de la gauche ancienne manière (programme partagé), compliquent parfois les situations. La question du rapport de forces par rapport du Parti socialiste apparaît cardinale et beaucoup d’interrogations existent à propos de la capacité du PS (parti devenu sans complexe un parti social-démocrate) à sortir de son destin libéral.
Le Front de gauche a ainsi une responsabilité considérable : s’organiser et absorber le peuple de gauche qui se détournerait de l’option libérale prise par le PS depuis 1983.
Beaucoup de gens intéressés par la démarche FDG s’interrogent sur la place des partis, organisations et individus dans le rassemblement initié. De plus en plus de citoyens apprécient ce concept Front de gauche sans avoir besoin de porter une étiquette politique pour autant. Cette vision moderne attire aussi les militants du NPA ou de Lutte Ouvrière.
En 2011, les élections présidentielles sont donc préparées très tôt et poursuivent cette dynamique du rassemblement, recréant la mystique et la logique unitaires du Front populaire ou l’Union de la gauche.
Jean-Luc Mélenchon joue gros en 2012 pour l’élection présidentielle.
9 décembre 2012 | Classé Dans Non classéJEUDI 29 NOVEMBRE 2012 – VENEZ NOMBREUX !
21 novembre 2012 | Classé Dans Non classéA VOS AGENDAS !
RÉUNION PUBLIQUE SUR LE THEME DE « L’EMPLOI »
Le Front de Gauche vous invite à une assemblée citoyenne
Jeudi 29 NOVEMBRE – 18 h
Ancienne maison des Syndicats à BOURG
Salle 023Le Changement c’est avec une politique de gauche et des réponses immédiates et collectives pour l’emploi, la ré-industrialisation et des droits nouveaux pour les salariés.
Avec :
Nicolas MARCHAND– membre du Conseil National et du collectif d’actions et de propositions pour l’emploi et l’industrie du PCFNoëlle FAVIER – PCF Section Bourg en Bresse
Philippe LERDA Parti de Gauche – Bourg en Bresse
Des Syndicalistes d’entreprises de Bourg et sa périphérieEnsemble luttes sociales et combats politiques permettront de repousser l’austérité, d’imposer une politique de gauche pour l’emploi, de faire vivre un projet écologiste, socialiste et républicain.
18 novembre 2012 | Classé Dans Non classéLes raisons historiques de la construction du Front de gauche
Les élections cantonales de 2011 : le Front de Gauche insiste et persiste (épisode 6)
Le Front de gauche à clairement exprimé son intention de présenter des candidats dans un maximum de cantons.
Le FDG est cette fois élargi au M’PEP qui a fait une demande d’adhésion nationale au front. Dans certains départements, les candidats sont présentés en commun avec le Nouveau Parti anticapitaliste d’Olivier Besancenot ainsi que le Mouvement républicain et citoyen de Jean-Pierre Chevènement !
L’objectif pour le PCF est de récupérer la Seine-Saint-Denis (perdue en 2008 au profit du PS), de conquérir le Cher, de conserver l’Allier et le Val-de-Marne.
Mais les ambitions du Front de gauche se retrouvent compromises en Seine-Saint-Denis et dans le Val-de-Marne car malgré des candidatures communes avec le NPA, EELV et le PS présentent un maximum de candidats communs.
Les candidats Front de gauche et alliés obtiennent finalement 10,38 % des voix au niveau national sur les cantons où le FDG était présent.
Avec 10,38 % des voix sur l’ensemble des cantons dans lesquels il présentait des candidats au premier tour, le Front de Gauche se place comme étant la deuxième force de gauche de France devant EELV.
La dynamique unitaire créée autour du Front de Gauche a permis d’enrayer le recul historique du PC.
Le Front de Gauche persiste et signe. Il faudra désormais compter avec lui.
12 novembre 2012 | Classé Dans Non classé6 Mois De François Hollande : Où Est Le Changement ?
10 novembre 2012 | Classé Dans Non classé-
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